Il s’agit d’une situation où l’un des parents empêche l’autre de voir l’enfant, malgré une décision du juge fixant des droits à l’autre parent.
Oui, la non-représentation d’enfant peut être utilisée comme preuve dans le cadre d’autres procédures, notamment lors d’une demande de modification de la résidence de l’enfant ou d’une procédure de divorce.
Elle peut démontrer l’incapacité de l’un des parents à coopérer pour le bien-être de l’enfant, ce qui pourrait influencer le juge dans ses décisions concernant la résidence des enfants ou les droits de visite.
Dans certains cas, le parent lésé peut demander une indemnisation pour le préjudice subi en raison de la non-représentation.
Cela peut concerner les frais juridiques engendrés par la procédure, mais aussi des dommages et intérêts en raison de l’impact psychologique sur l’enfant ou le parent privé de sa relation avec l’enfant.
Dans les cas où l’enfant refuse de voir un parent, il est important de déterminer les causes de ce refus. Il peut s’agir d’un conflit parental, d’une manipulation de l’un des parents ou d’un problème plus profond.
Le juge pourra alors prendre plusieurs mesures :
L’abandon de famille appelé aussi non-paiement de la pension alimentaire se produit lorsqu’un parent ne verse pas la somme convenue pour contribuer à l’entretien et à l’éducation de son ou ses enfants après une séparation ou un divorce.
Cela peut également concerner une contribution alimentaire à un ex-conjoint, notamment dans le cadre d’une décision de justice qui impose une pension.
Oui, il est possible de demander une révision du montant de la pension alimentaire si l’un des parents rencontre des difficultés financières ou si la situation des enfants a changé (par exemple, augmentation des besoins). Cette demande doit être faite auprès du juge aux affaires familiales, qui évaluera la situation et pourra ajuster le montant de la pension.